Le doudou de maman (2015)

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  • Le doudou de mamanAuteur : Denis Lévy-Soussan
  • Illustratrice : Marjorie Béal
  • Éditeur : Du Ricochet

Quatrième de couverture : Pourquoi Maman a-t-elle le droit d’amener son doudou partout, et pas moi ?

Pourquoi est-ce que je l’ai aimé ? « Ma maman est une petite fille », affirme avec conviction l’héroïne de notre histoire. Parce que même si elle aime porter des talons hauts, s’habiller avec élégance et réparer plein de choses à la maison, elle se comporte comme une petite. Oui, c’est exactement ça, maman ne grandit pas car elle est très attachée à son… doudou ! Dès qu’elle ouvre les yeux le matin, elle le prend dans ses mains, elle le caresse, elle lui parle, elle l’écoute, elle l’amène partout avec elle, même à table, même au travail. …Lire la suite »


Esther et Mandragore : Une sorcière et son chat (2016)

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  • Esther-et-mandragore-une-sorciere-et-son-chatAuteure : Sophie Dieuaide
  • Illustratrice : Marie-Pierre Oddoux
  • Éditeur : Talents Hauts
  • Collection : Zazou
  • Pages : 128

Quatrième de couverture : Pendant quelques instants, j’ai eu vraiment peur qu’une sorcière apparaisse en homme, en femme ou en minuscule insecte et qu’elle grogne : « On avait dit : Pas de magie devant les humains, Esther ! Retour immédiat à l’école des Sorcières pour toi et pour ton chat ! »

Pourquoi est-ce que je l’ai aimé ? Tout commence le jour, ou plutôt la nuit, où Esther Fleurdefer, (une élève de 1re année de l’école des sorcières), a reçu un prix. Et pas n’importe quel prix ! Celui-ci a été attribué exceptionnellement à la demande du Grand Conseil des Sorcières comme reconnaissance de la qualité majeure chez les élèves – la curiosité. Ainsi, pour son plus grand bonheur, Esther reçoit le Premier Prix de Curiosité et en guise de récompense se fait expédier cette nuit même dans…l’Autre Monde ! …Lire la suite »


Surprise ! (2016)

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  • Surprise !Auteure : Anne Isabelle Le Touzé
  • Illustratrice: Anne Isabelle Le Touzé
  • Éditeur : Les P’tits Bérets

Quatrième de couverture : De biens curieux personnages s’activent et s’affairent. Mais que peuvent-ils préparer ? Ils découpent, ils griffonnent. Le suspens reste entier… La surprise sera de taille !

Pourquoi est-ce que je l’ai aimé ? C’est la nuit. Tu ouvres doucement la porte de la maison et tu te retrouves dans un immense salon très accueillant. Tu regardes autour de toi avec intérêt : une grande table ronde avec plein de chaises de différentes tailles, couleurs et formes, une cheminée avec un miroir juste au-dessus, un vaisselier, une armoire et une commode en bois, une bibliothèque remplie de livres près du mur, un canapé et des fauteuils confortables et, tiens… un énorme lit ! …Lire la suite »


Quand les poissons rouges auront des dents (2015)

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  • Quand les poissons rougesAuteure : Marie Colot
  • Illustrateur : Philippe de Kemmeter
  • Éditeur : Alice Jeunesse
  • Collection : Primo
  • Pages : 87

Quatrième de couverture : Il y a Auguste qui mémorise l’annuaire téléphonique. Il y a Lima qui garde toujours le silence. Il y a Robert Bouchard, le Playmobil. Il y a madame Louise, la maitresse aux grosses lunettes qui les surveille pendant les récréations parce que le poisson Frigolite s’est retrouvé dans la cuvette des toilettes. Et il y a un pays très lointain. Mais avec des trottinettes et un peu d’audace, il est peut-être plus proche qu’on ne le croit.

Pourquoi est-ce que je l’ai aimé ? Qu’est-ce qui se cache derrière ce drôle de titre qui joue avec les mots ? Si vous voulez le savoir, tournez vite la première page, et vous voilà dans une salle de classe ordinaire où Auguste, un garçon tout à fait ordinaire lui aussi, passe sa punition pendant que les autres s’amusent dehors. Pourquoi est-il puni ? …Lire la suite »


Ni vu ni connu (2009)

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  • Ni vu ni connuAuteur : Michaël Escoffier
  • Illustratrice : Kris Di Giacomo
  • Éditeur : Frimousse
  • Collection : Maxi Boum

Quatrième de couverture : Lorsqu’il n’y a plus de papier, Léon est bien obligé de trouver autre chose pour s’essuyer les fesses. Et c’est là que les ennuis commencent…

Pourquoi est-ce que je l’ai aimé ? Je crois que je peux confirmer sans exagération que chaque album créé par Michael Escoffier et Kris Di Giacomo s’avère une pépite d’originalité, de pertinence et d’humour. Car chaque création de ce célèbre duo ne passe pas inaperçue dans le monde de la littérature jeunesse, attirant avec magnétisme les regards enthousiastes des petits comme des grands lecteurs. Où se trouve-t-il le secret de ce succès ? Dans la simplicité raffinée de l’expression lexicale, dans l’ingéniosité de la présentation graphique, dans le style toujours amusant, voire comique ou, peut-être, dans cette capacité des auteurs d’aller droit au cœur du monde enfantin, …Lire la suite »


Amanda et les amis imaginaires (2015)

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  • Amanda et les amisTitre original : The Imaginary (2014)
  • Auteur : A. F. Harrold
  • Traductrice : Isabelle Perrin
  • Illustratrice : Emily Gravett
  • Éditeur : Seuil Jeunesse
  • Pages : 240

Quatrième de couverture : Rudger est le meilleur ami d’Amanda. Enfin, son meilleur ami… imaginaire ! Hélas ! le jour où la fillette n’est plus là pour lui, Rudger commence à s’estomper. S’il ne trouve pas très vite quelqu’un d’autre pour croire en lui, il disparaîtra ! Mais Rudger veut-il vraiment d’un nouvel ami ? Il est celui d’Amanda et fera tout pour la retrouver. Quitte à s’évanouir pour toujours.

Pourquoi est-ce que je l’ai aimé ? Je ne doute pas que beaucoup parmi nous, dans notre enfance, s’amusaient en s’inventant des amis imaginaires pour partager jeux et aventures excitantes. Il en va de même pour nos enfants qui ont une imagination riche et féconde. Ils sont capables de voir et de communiquer avec des personnages extraordinaires qui sont, hélas ! cachés à nos yeux. …Lire la suite »


Monsieur Chocolat : Le premier clown noir (2016)

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  • Monsieur Chocolat 2Auteure : Bénédicte Rivière
  • Illustrateur : Bruno Pilorget
  • Éditeur : Rue du monde
  • Collection : Grands portraits

Quatrième de couverture: Fils d’esclaves sur l’île de Cuba, Rafael Padilla a émigré très jeune vers l’Europe. De pas de danse en pirouette, il est devenu Chocolat, le clown le plus célèbre de France dans le climat raciste de cette « Belle Époque ». Avec son compère Foottit, ils ont fait rire des centaines de milliers de spectateurs. Mais, peu à peu, le succès s’effaça. Chocolat trouva alors assez de force en lui pour aller faire rire les enfants dans les hôpitaux… Bravo, Monsieur Chocolat !

Pourquoi est-ce que je l’ai aimé ? Très attirée par le personnage du Clown Chocolat, je me suis plongée dans la lecture d’un deuxième livre de Bénédicte Rivière où elle ramène à la lumière la vie de ce premier artiste noir, injustement tombé dans l’oubli. …Lire la suite »


Je suis Chocolat ! (2016)

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  • Je suis ChocolatAuteure : Bénédicte Rivière
  • Éditeur : Les Petites Moustaches
  • Pages : 113

Quatrième de couverture : Je m’appelle Rafael et je suis né sur l’île de Cuba. Je suis le fils d’esclaves en fuite. Quand j’étais enfant, je vivais à La Havane, chez la Vieille Jaba. Mais un jour, elle m’a vendu à un marchand portugais. Pour me rassurer, elle m’a dit qu’en Europe je serai libre, que là-bas les esclaves n’existaient pas. Et me voilà sur un bateau, direction le vieux continent! C’est sur le pont de ce navire que j’ai trouvé Habana, ma mouette. Elle était blessée, alors je l’ai soignée. Très vite, elle m’a accompagné dans toutes mes aventures. Car ma vie a été incroyable! Moi le fils d’esclaves, l’enfant qu’on montrait du doigt, j’allais être le premier artiste noir à devenir célèbre et être applaudi par le Tout-Paris…

Pourquoi est-ce que je l’ai aimé ? Il s’appelle Rafael. Il est né à Cuba dans une famille d’esclaves. Il a la peau noire, un cœur grand ouvert et un immense amour de liberté. Il adore la musique, la danse et les jeux avec ses amis. Il sait faire plein de choses, il sait se débrouiller tout seul même quand la vie est dure. …Lire la suite »


Fairy Oak, Tome 1 : le Secret des Jumelles (2015)

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  • Fairy Oak-t01Titre original : Fairy Oak : Il segreto delle gemelle (2005)
  • Auteure : Elisabetta Gnone
  • Illustrateurs : Alessia Martusciello, Claudio Prati
  • Traductrice : Hélène Dauniol-Remaud
  • Éditeur : Kennes
  • Pages : 360

Quatrième de couverture : À Fairy Oak, depuis plus de mille ans, quand sonne minuit, de minuscules fées lumineuses racontent des histoires de petits enfants à des sorcières attentives.
Insolite, n’est-ce pas?! Chacun sait en effet que les fées et les sorcières ne s’entendent pas très bien et que ces dernières n’aiment pas du tout les enfants. Mais nous sommes dans la Vallée de Verte-Plaine, dans le village de Fairy Oak, et ici, les choses ne se passent pas comme ailleurs…

Pourquoi est-ce que je l’ai aimé ? Bienvenue à Fairy Oak, un village attrayant perdu quelque part au milieu de la nature, un village très ancien et surtout très particulier. Car ici, depuis des siècles, habitent en harmonie deux peuples, « Magiques » (sorcières, magiciens, fées) et « Non-magiques » (humains ordinaires). …Lire la suite »


Au clair de lune (2014)

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  • Au clair de luneAuteure : Catherine Latteux
  • Illustratrice : Oreli Gouel
  • Éditeur : Mazurka

Quatrième de couverture : Il était une fois….la rencontre d’un jeune garçon et sa mystérieuse voisine de palier, une enfant de la lune. À la tombée de la nuit, les deux amis se retrouvent et rêvent de merveilleuses aventures sous le regard complice de l’astre lunaire. Un soir, ils quittent leur théâtre imaginaire. La réalité va alors les rattraper…

Pourquoi est-ce que je l’ai aimé ? Avant même de l’ouvrir, juste en le touchant du regard, j’ai déjà aimé cet album. Il y en a très peu de ces livres qui réussissent d’un seul coup, d’un seul appel de leur couverture à nous saisir avec une telle force que notre cœur ne peut pas résister à les accueillir dans ses profondeurs pour ne plus les laisser partir. J’avoue que j’étais hypnotisée par la couverture, et puis par chaque page de cet album, à tel point que je ne pouvais m’empêcher de revenir vers ce livre encore et encore, à le feuilleter, à le contempler inlassablement, insatiablement. J’ai mis beaucoup, beaucoup de temps pour me décider à le chroniquer parce que je restais muette devant la beauté silencieuse et puissante qui émane de chaque trait de dessin, de chaque combinaison de mots. …Lire la suite »