Quatrième de couverture : Ce matin-là, Agathe ouvrit ses paupières avec résignation. La crise, la crise, la crise : tout le monde n’avait que ce mot à la bouche. Une à une, les usines fermaient. Les vitrines des magasins se fanaient. Le cœur des gens s’endormait sous la poussière. Même les arbres des squares n’avaient plus la force de fabriquer de nouvelles feuilles.
Pourquoi est-ce que je l’ai aimé ? Il y a eu déjà tellement de mots pour décrire cet album, il a suscité tellement de réflexions, de partages, d’émotions (toutes sincères, profondes et vraies), qu’il sera difficile d’ajouter quelque chose de nouveau. Il reste, néanmoins, que son texte ainsi que ses illustrations sont une mine de richesses incroyables où chacun peut puiser à volonté et en soustraire quelques trésors surprenants qui lui parlent personnellement. J’en ai trouvé plusieurs moi aussi, qui ont su m’émouvoir et me plonger dans une contemplation bienfaisante et douloureuse en même temps. …Lire la suite